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Jeudi 17 nov. à 19h-Tupac Amaru, quelque chose est en train de changer

ACAF (Assemblée des citoyens d’argentine en France)
vous invite à la projection du documentaire
Le Jeudi 17 novembre à 19h
El Diablito Latino, 45 rue Saint Sébastien
Métro : Saint-Sébastien-Froissart ou Richard Lenoir
(Restauration sur place)
Dans cadre de la campagne que nous menons pour sa libération, découvrez  le parcours de Milagro Sala, dirigeante de l’organisation sociale Tupac Amaru à Jujuy, arrêtée de manière arbitraire depuis le 16 janvier 2016,  prisonnière politique de la gestion Macri.

Le 27 octobre 2016, L’ONU a exigé sa mise en liberté immédiate sous la demande d’Amnystie internationale, du Cels et d’Andhehttp://amnistia.org.ar/naciones-unidas-solicita-la-liberacion-inmediata-de-milagro-sala/

La commission de l’ONU en charge du suivi des détentions arbitraires a statué que « la détention de Milagro Sala est arbitraire » et a exigé « au gouvernement argentin sa mise en liberté immédiate ».
Elle a estimé que l’accumulation des mises en examen successives pour la maintenir en détention préventive met en péril l’indépendance de la justice. La commission a pointé qu’il n’y a aucun risque d’entrave à la justice ou de fugue qui pourrait justifier sa privation de liberté.
Par ailleurs, elle considère que l’Etat a bafoué son droit à la défense, en lui imputant des charges arbitraires et injustifiées.
De plus, en tant que parlementaire du Mercosur son immunité a été ignorée.
L’ONU a conclu que la détention de Milagro Sala est une nette violation de ses droits élémentaires. Elle exige à L’Etat Argentin de mettre fin à ce type de pratique et de garantir la libre expression des droits de l’homme. Cette exigence est sans appel.
Cette conclusion émane d’une enquête menée suite à une requête internationale présentée par amnistie Internationale, le CELS et l’Andhes, en février dernier, lors de la détention de Milagro Sala dans la province de Jujuy.
Cette requête fait suite à plusieurs demandes sans réponse auprès de l’Etat Argentin.

 

 

Se souvenir, comprendre, lutter contre le terrorisme, à voir

A voir absolument, sur ARTE
« Au coeur de la nuit »

Le documentaire diffusé sur Arte le 13 novembre, dans le cadre de l’hommage aux victimes : « Au coeur de la nuit », avec Gérard Biard, rédacteur en chef de Charlie Hebdo, et Inna Schevchenko, leader du mouvement Femen… avec une visite à l’Espace des femmes – Antoinette Fouque, pour parler avec des militantes du MLF est magnifique et rare.
Vous pouvez le voir ou le revoir en replay jusqu’au 13 décembre 2016 en cliquant sur le lien suivant : http://www.arte.tv/guide/fr/069389-000-A/au-coeur-de-la-nuit .

arte-afd

 

Les femmes premières productrices de richesse au monde

Manifestation pour l'égalité des salaires hommes-femmes à Paris le 7 novembre 2016

Les femmes sont trois fois travailleuses
Avec LES GLORIEUSES, nous sommes allées à la manifestation place de la République à Paris le 7 novembre 2016
Les glorieuses avaient appelé à cesser le travail le lundi 7 novembre à partir de 16h34… En effet, à cette date et à cette heure, compte tenu de la différence de salaires entre les femmes et les hommes, les hommes auront gagné ce que les femmes percevra en une année…
« 13,795 millions de femmes font partie de la population active en France, soit 48% du total (Insee 2015). Nous représentons près de la moitié de cette population active et 52% de la population totale. Nous ne souhaitons pas attendre l’an 2186 pour atteindre l’égalité salariale. Nous ne souhaitons pas attendre 170 ans pour atteindre cette parité.
http://lesglorieuses.fr/egalite-salaires/

Voilà près de 50 ans que nous nous battons contre la non reconnaissance du travail des femmes et les discriminations qu’elles subissent ! Mobilisons-nous encore et toujours
Le 22 décembre 1972 est promulguée la loi affirmant le principe d’égalité salariale entre les hommes et les femme, 24 ans après l’inscription du principe d’égalité de rémunération dans la Déclaration universelle des droits de l’homme(1948)et 15 ans près le traité de Rome créant la Communauté économique européenne qui prévoit l’égalité de rémunération des travailleurs masculins et féminins( art.118).
La loi reste suivi de peu d’effets
Le 20 février 1982, appel du MLF à la grève générale le 8 mars 1982 ( nous serons 12000 dans la rue avec les slogans : Nous sommes trois fois travailleuses, 52% de la nation, première productrices de richesses, nous sommes adultes, responsables, réalistes, nous existons, nous luttons, nous sommes des femmes).
Nous publions les « Dix mesures d’urgence, en réparation des dommages millénaires faits aux femmes »
1 – Crèches gratuites, garderies gratuites ouvertes partout 24h sur 24
2- Aux femmes le choix du nom, des noms pour leurs enfants !…
3 – Libre disposition de son corps !…
4 – Prise en compte du temps réel du travail des femmes !
faire des enfant est un travail. Les médecins l’évaluent à 4 heures de travail par jour
Travail à mi-temps payé à plein temps pour les femmes enceintes dès le début de leur grossesse
Le travail des femmes consacré à la grossesse, aux soins et à l’éducation des enfants, à la maison, doit être pris en compte pour le droit à la Sécurité sociale, à la retraite et à l’ancienneté professionnelle
5 – reconnaissance du travail domestique pour toutes !
Création d’une indemnité d e travail domestique portée sur les feuilles de salaires comme il existe une indemnité de transport ou de résidence … Et pour les femmes à a maison ?
6 – Création d’un statut professionnel pour les femmes qui travaillent avec leur conjoint, autant qu’eux sinon plus !…
7 – Priorité aux femmes pour l’emploi à temps plein….
8 – 52 % du pouvoir décisionnel aux femmes.
9 – Création d’un Droit des femmes
10- Création d’un Droit international des femmes
Vous trouverez le texte en entier dans le livre « Génération MLF 1968-1982 » publié aux Editions des femmes

« Les femmes sont Trois fois travailleuses » Intervention d’Antoinette Fouque, aux Etats généraux contre la misogynie, débat national, Sorbonne le 8 mars 1982
Cliquez ici pour écouter l’intervention

Pour une imprescribilité des crimes sexuels

Soyons nombreuses et nombreux à signer la pétition lancée par Muriel Salmona, présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie.

À l’attention : du Président de la République, les membres du Gouvernement, et de tous les parlementaires
Aux crimes exceptionnels, une réponse exceptionnelle : l’imprescriptibilité
En réaction à l’affaire Bill Cosby où de nombreuses femmes victimes de l’acteur n’avaient pas accès à la justice, alors que d’autres ont pu y recourir, le gouverneur de Californie a ratifié le 28septembre 2016 une loi supprimant la prescription pour les crimes sexuels.
En France, nous avons également de nombreuses affaires similaires de violeurs en série, avec des victimes pouvant porter plainte, alors que d’autres n’ont pas pu en raison de la prescription, bien qu’elles aient subi les mêmes crimes et délits. Pour ne citer que quelques unes des plus récentes : l’entraîneur de tennis Régis de Camaret, Léonide Kameneff et l’École en bateau, le gynécologue André Hazout, Giovanni Costa dit l’électricien… .
Rappelons que la prescription de l’action publique constitue une exception péremptoire et d’ordre public : elle ôte aux faits poursuivis tout caractère délictueux.
Un argument fréquent contre la suppression de la prescription pour les victimes de viols et de délits sexuels aggravés est le caractère exceptionnel de l’imprescriptibilité, réservé actuellement en France aux seuls crimes contre l’humanité. Nous devons donc nous contenter d’une prescription de 10 ans pour les crimes sexuels commis sur des personnes adultes et d’une prescription de 3 ans pour les délits sexuels . Pour les crimes sexuels commis sur les mineurs, la prescription a été portée à 20 ans après la majorité depuis la loi Perben II du 9 mars 2004, et est la même pour les délits sexuels aggravés commis sur des mineurs. Il est à noter que les allongements des délais de prescriptions successifs ne sont et ne seront pas rétroactifs…….
Pour lire la suite et signer la pétition, cliquez ici

Dès les premières réunions du MLF en 1968, le thème du viol et des violences contre les femmes a été central.
En 1972 lors des journées de dénonciation des crimes contre les femmes à la Mutualité à Paris lecture d’un texte collectif sur le viol qui sera publié dans le journal du MLF, »Le Torchon brûle », et toujours d’actualité : « TOUT VIOL EST UN ABUS DE POUVOIR
– Ils violent parce qu’ils ont la loi.
– Ils violent parce qu’ils sont la loi.
– Ils violent parce qu’ils font la loi.
– Ils violent parce qu’ils sont les gardiens de la paix, de l’ordre, de la loi.
– Ils violent parce qu’ils ont le pouvoir, la parole, le fric, le savoir, la force, un pénis, le phallus.
Ils disent que :
– dans tous les cas nous l’avons bien cherché ;
Que nous sommes des imprudentes ;
Qu’il ne faut pas suivre des inconnus ;
Mais qu’on ne peut rien refuser à son père ;
Que nous sommes provocantes ;
Que nous sommes complices ;
Que nous méritons ça ;
Que ça doit nous servir de leçon ;
Que nous ne devons sortir sans protecteur,…. »

Ce texte intégral peut être lu dans « Génération MLF 1968-2008 » publié aux Editions des femmes- http://www.desfemmes.fr/essai/generation-mlf/
Ces mobilisations aboutiront en 1980 à l’inscription du viol dans le code pénal : « le viol est un crime ».
En 1989, Antoinette Fouque crée L’Observatoire de la Misogynie qui mettra en évidence, cette année là, qu’une femme est tuée chaque jour par un de ses proches. Il faudra attendre l’enquête ENVEFF (enquête nationale sur les violences faites au femmes en France) en 2000 qui ne portera que sur les violences conjugales pour que soit reconnue la réalité des crimes dont sont victimes quotidiennement les femmes en France.
Dans toutes les guerres le viol est utilisé comme une arme. Voir le texte « Viols de guerre » écrit par A. Fouque dans le livre « Il y a deux sexes »page 177 aux éditions Gallimard
Le 10 décembre 1992, lors de la journée mondiale des droits de l’homme, appel de l’Alliance des femmes pour que le viol soit reconnu comme crime contre l’humanité.
Aujourd’hui les crimes contre les femmes enlevées, vendues comme «  épouses » violées, enfermées dans des camps sont le quotidien les guerres et des conflits au Moyen Orient et en Afrique. Plus que jamais les femmes sont les premières victimes de ces conflits.

Mouvement « Fraternité générale »

A l’occasion du mouvement « Fraternité générale »
Parce que dans « Fraternité » il y a « Sororité » et que dans sœur il y a femme

L’Espace des Femmes -Antoinette Fouque vous invite  à une soirée de manifestation culturelle contre les discriminations et les exclusions et pour une solidarité citoyenne.

                                     Solidarités
Le 8 novembre à 19 heures
Avec :
Alla Balaert, Carherine Benhamuo, Nathalie Léger-Cresson, Jacqueline Merville, Catherine Weinzaepflen feront des lectures de leurs textes
• Yi-Ping Pong, photographe taïwanaise, présentera son travail Herrom actuellement exposé à l’Espace des femmes
Adrien Grand, pianiste, interprétera des œuvres de Anna Magdalena Bach, Clara Schumann…

Espace des femmes, 35 rue Jacob 76006 Paris, Tél 0142226074

Pour plus d’information sur le Mouvement « Fraternité générale » cliquez ici

 

Prix Sakharov

Bravo au parlement européen pour avoir attribué le Prix Sakharov à Nadia Basse et a Miya Aji Bashar, les porte-parole des femmes Yézidies réduites en esclavage sexuel par l’EI !
En août 2014, leur village a été attaqué et des habitants massacrés. Les deux jeunes femmes ont été capturées par les
membres de l’EI pour être réduites en esclavage. Elles ont finalement réussi à s’échapper. Depuis, elles ne cessent de dénoncer les crimes de l’organisation terroriste, la traite des êtres humains et la défense des droits de leur communauté.
Pour son combat, Nadia Murad Basee a même été nommée « ambassadrice de bonne volonté des Nations unies pour la dignité des survivants du trafic d’êtres humains ». Elle a par ailleurs obtenu au début du mois d’octobre, le prix Vaclav Havel des droits de l’Homme décerné par le Conseil de l’Europe.

Non à l’Ordre machiste et papal – 2

Devant l’immense mobilisation des femmes polonaises début octobre 2016, le Parlement polonais a dû renoncer à son projet d’interdire radicalement le droit à l’IVG (cf. Non à l’Ordre machiste et papal -I ). A peine quelques semaines plus tard, le gouvernement revient à la charge.

Vêtues de noir et parapluie à la main, les femmes sont redescendues dans la rue par milliers dans le pays et ont relancé leur grève. L’occasion de dénoncer également le mépris et la violence à leur égard, notamment de la part de la classe politique, l’ingérence croissante de l’Église catholique dans la politique et un système éducatif trop politisé.
Nous avons manifesté à Paris, le 2 octobre en solidarité avec elles. Nous réaffirmons aujourd’hui cette solidarité avec elles. Nous ne laisserons pas faire!
Le droit à la maitrise de la fécondité est un droit fondamental des femmes! Il faut l’élargir partout dans le monde.

Des milliers de femmes en marche pour la paix

Des milliers de femmes juives, musulmanes, chrétiennes et athées, ont décidé d’unir leurs forces dans un magnifique combat pour la paix en Israël et en Palestine…
Ce mouvement a été baptisé Women wage peace. Il a connu son premier coup d’éclat le 19 octobre dernier, une immense foule de femmes vêtues de blanc ont défilé pacifiquement devant la résidence du premier ministre israélien. De toutes confessions et de tous bords politiques, elles n’étaient là que pour une chose : réclamer la paix.
Depuis de nombreuse marche ont été organisées un peu partout en Israël, en Palestine et en Cisjordanie pour qu’un véritable dialogue s’instaure entre les différentes parties en conflit.
Une démarche apolitique qui, peu à peu, prend une véritable ampleur, comme en témoignent ces magnifiques photos !
Voir la suite
« Les initiatives de paix sont nombreuses mais, bizarrement on en entend très peu parler. Comme si l’on préférait donner systématiquement la parole à ceux qui font le choix de la guerre…Il est grand temps que les pacifistes aient aussi voix au chapitre. Donnons-leur l’audience qu’ils méritent et, alors, peut-être que les choses finiront enfin par changer ! »
Vive Women wage peace !

 

 

Non au hijab aux Championnats d’échecs en Iran

La Fédération internationale d’échec (FIDE) entend que toutes les joueuses se plient à l’obligation iranienne de porter le voile durant la compétition des championnats du monde à Téhéran en février 2017.

Les femmes du monde entier sous hijab !
Cette perspective est révoltante, inadmissible.

Faites circuler et signer la pétition lancée par Nazie Paikidze-Barnes championne d’échecs américaine pour que cette obligation soit levée.
Elle propose des solutions, changer le lieu ou reporter la compétition, exiger que le port d’un hijab soit facultatif, garantir aucune discrimination fondée sur le sexe, la nationalité, et garantir que tous les autres droits humains soient respectés (comme indiqué dans le manuel FIDE).

En Iran, les droits des femmes restent gravement restreint. C’est un combat pour les droits des femmes.

En signant cette pétition, vous pouvez aider à soutenir la cause et faire un changement réel et positif dans le monde.

Pour signer cette pétition cliquez ici

Non à l’Ordre machiste et papal – 1

Grâce à l’immense mobilisation des femmes, le parlement polonais renonce à la loi interdisant l’IVG.
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Que fait l’Union européenne alors qu’un de ses états membres, la Pologne, s’apprête à interdire radicalement le droit des femmes à l’IVG ?

Le MLF et l’Alliance des femmes pour la démocratie sont solidaires des femmes polonaises qui se sont massivement mobilisées contre cette loi et, au nom de ses principes fondateurs, demandent à l’Union européenne d’intervenir.

Dans une résolution du 3 juillet 2002, le Parlement européen avait recommandé aux Etats membres de légaliser l’avortement.
Malgré cette résolution, l’avortement reste interdit à Malte, ou encore en Irlande, où il n’est permis que dans le cas où la vie de la mère est en danger.

Déjà en 2014, le gouvernement de Mariano Rajoy avait tenté de restreindre le droit existant en Espagne. Devant la mobilisation et faute de majorité au parlement il a du retirer ce projet n’autorisant l’avortement qu’en cas de viol ou de danger pour la santé physique ou psychique de la mère.
En Pologne, alors que le droit à l’avortement existait légalement depuis plus de 40 ans, une 1ère loi, datant de 1993, a restreint ce droit. Depuis, l’IVG n’est autorisé que dans trois cas : lorsque la vie ou la santé de la mère est en danger, quand la grossesse résulte d’un viol ou d’un inceste et en cas de pathologie irréversible chez l’embryon.
Aujourd’hui, un nouveau projet de loi interdisant tout recours à l’IVG vient d’être adopté en première lecture à la Diète.
S’il était adopté, les filles et les femmes victimes d’inceste ou de viol n’auraient pas le droit d’interrompre leur grossesse, avec un risque pour leur vie puisqu’il n’existerait plus d’autres solutions que l’avortement clandestin.
Le texte prévoit également des peines allant jusqu’à cinq ans de réclusion pour les personnes qui pratiquent l’IVG, y compris les femmes. (Même les évêques sont contre cette condamnation !)

Face à cette situation scandaleuse dans un pays qui fait partie de l’Union européenne, la seule condamnation officielle à ce jour vient du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes qui a publié un communiqué :  « Le HCE condamne avec la plus grande fermeté cette proposition de loi liberticide et réactionnaire, contraire aux droits humains et, au premier chef, aux droits des femmes » et appelle à une réaction forte des dirigeant(e)s et autorités Européennes.

Les dirigeants de l’Union européenne ont le devoir d’entendre ces femmes et le pouvoir de les aider contre l’autoritarisme de ce régime et ses dérives réactionnaires dont elles sont les 1ères victimes. Nous les appelons à agir avec fermeté.

Voilà près de cinquante ans que le MLF se bat pour qu’aucune loi sur le corps des femmes  ne vienne entraver, leur droit à la maîtrise de leur fécondité.
Nous ne laisserons pas l’édifice monothéiste et patriarcal ébranlé par nos luttes, revenir sur nos victoires

Manifestation Noire contre l’interdiction de L’IVG
Ambassade de Pologne 1 rue Talleyrand 75007 Paris
Le 2 octobre à 15 h
Retrouvez nous devant la stèle de Solidarnosc aux Invalides, venez déposer les avis d’obsèques des droits des femmes en Pologne.