Page 15

Amnesty International tourne le dos aux femmes

Amnesty International s’est discréditée en appelant les états à légaliser les proxénètes et l’esclavage sexuel des femmes !
Appel à signer la pétition de la « Coalition for the Abolition of Prostitution »
Mobilisons-nous !

Près d’un an après avoir adopté une position pro-prostitution et de défense des proxénètes contre laquelle nous nous sommes mobilisées avec le mouvement Femen, le mouvement du Nid, la Coalition for the Abolition of Prostitution, et bien d’autres mouvements et personnalités, Amnesty International vient, ce mois de mai, de mettre en œuvre cette politique en appelant tous les gouvernements du monde à décriminaliser les proxénètes, les propriétaires de bordels, et les clients. Ce faisant, cette organisation trahit sa vocation qui est de faire respecter les droits humains, entérine et promeut l’esclavage sexuel, légitime les pires violences contre les femmes.
La Coalition internationale contre la traite des femmes (Coalition against trafficking in women international) lance une pétition appelant Amnesty International à renoncer à cette politique dévastatrice et à respecter les engagements internationaux comme le Protocole de Palerme, la Convention de 1949 des Nations-Unies pour la répression de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui, et la CEDEF (Convention pour l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes). Elle demande aux Etats de rejeter sans réserve les préconisations d’AI.

Nous vous invitons à signer cette pétition (ci-dessous) et à la faire circuler aussi largement que possible.

Déclaration mondiale appelant Amnesty international
à défendre les droits de la personne

Considérant que :
Au cours de leur réunion du Conseil international à Dublin du 7 au 11 août 2015, des délégués d’Amnesty International ont débattu et adopté la «Décision : Ligne de conduite relative à l’obligation des États de respecter et protéger les droits humains des travailleurs et travailleuses du sexe et de les laisser exercer ces droits» qui invite les gouvernements à décriminaliser totalement ce qu’ils appellent « travail du sexe », y compris les proxénètes, les propriétaires de maisons closes et les acheteurs ;
Amnesty International est l’une des plus éminentes organisations de défense des droits humains au monde, dont la mission est de faire respecter la Déclaration universelle des droits de l’homme qui établit l’indivisibilité, l’inaliénabilité et l’universalité des droits de la personne, y compris le droit de chaque être humain de vivre une vie libre de violence et dotée de dignité ;
L’appel d’Amnesty International à décriminaliser la prostitution, y compris les proxénètes, les propriétaires de maisons closes et les acheteurs, est en violation directe de sa mission ainsi que de conventions internationales, de principes des droits de la femme et des droits de la personne, et de tous les efforts pour parvenir à l’égalité des sexes ;
Nous, les parties soussignées, sommes notamment des membres d’organisations nationales, internationales, régionales et locales qui fournissons des services de première ligne aux femmes qui souffrent de violences et de discrimination, allant de la prostitution à la violence conjugale, au viol et à la torture par des acteurs étatiques et non étatiques, et qui militons pour de vigoureuses lois et politiques à l’appui des droits des femmes. Collectivement, nous avons répondu partout dans le monde à des centaines de milliers de femmes piégées dans des cycles de violence masculine à leur égard, y compris dans la prostitution, et leur avons fourni des services sociaux, médicaux, de logement, de soutien juridique et de représentation ;
Nous sommes des militantes des droits des femmes, des féministes, des survivantes de la prostitution et d’autres formes de violence sexualisée, d’origine indigène ou de « castes répertoriées », Premières nations, Métis, Européennes et d’ascendance européenne, Africaines et de la diaspora africaine ; Latino-Américaines et des Caraïbes ; Asiatiques et Océaniennes originaires de six continents ;
Nous convenons avec Amnesty International que les personnes vendues en prostitution ne doivent être pénalisées dans aucun territoire. Leurs vies sont brisées par une lourde stigmatisation sociale et des taux élevés de violations des droits humains inhérentes à la prostitution, y compris la violence, le harcèlement sexuel, le viol, la déshumanisation, l’avilissement, la torture, voire la mort, aux mains de leurs acheteurs, proxénètes, trafiquants, agents d’application de la loi et autres acteurs étatiques et non étatiques ;
Nous considérons que la réduction des méfaits est un outil provisoire nécessaire qui assure une protection et répond à des besoins de personnes prostituées, mais que l’élimination de ces méfaits par des lois, des changements de paradigme et un changement social est essentielle pour combattre les causes profondes de la prostitution et de l’exploitation sexualisée commerciale.

Par conséquent, c’est sans équivoque que nous…
REJETONS la décision d’Amnesty International de dépénaliser un système d’exploitation sexualisée commerciale, qui est ancré dans des antécédents d’oppression patriarcale, de racisme, de colonialisme, d’esclavage, de génocide et dans l’acceptation culturelle d’une violence et d’une discrimination surtout exercées contre des femmes, qui sont majoritairement des femmes de couleur, appauvries, dénuées de choix et qui ont souffert de violence sexuelle et économique, d’inceste, de viols répétés, de torture, d’itinérance et de marginalisation socioculturelle ;

REJETONS l’utilisation par Amnesty International de l’expression «travail du sexe», un terme créé par l’industrie du sexe et qui est incompatible avec le droit international. La prostitution n’est ni du «sexe», ni un «travail» mais une violence et une discrimination fondées sur le sexe, perpétuées par une industrie du sexe multimilliardaire, et alimentées par les acheteurs (la demande). En outre, certains gouvernements qui ont dépénalisé la prostitution définissent comme «travailleur du sexe» toute personne fournissant des services sexualisés commerciaux, ce qui inclut les proxénètes et les propriétaires de maisons closes et ne se limite donc pas aux personnes qui vendent leur sexualité ;

REJETONS les allégations d’Amnesty International quant aux recherches fondant sa décision de réclamer la décriminalisation de la prostitution quand cette organisation ne parvient pas à citer de recherches ou d’études sur les principaux cadres juridiques qui régissent la prostitution ainsi que leurs conséquences documentées. Amnesty International a également refusé d’examiner les échecs de la décriminalisation de la prostitution dans des pays comme l’Allemagne, les Pays-Bas, certains États de l’Australie, la Nouvelle-Zélande et d’autres territoires ;

REJETONS la comparaison d’Amnesty International entre sa position sur la peine de mort et la décriminalisation de la prostitution. Le fait de voter sur une résolution appelant les États à ne pas condamner à mort leurs citoyens conformément aux principes des droits de la personne est à mille lieues du fait d’exhorter les gouvernements à autoriser une exploitation commerciale sexualisée au moyen d’une décriminalisation des proxénètes, des propriétaires de bordels et des acheteurs.

NOUS APPELONS :
Amnesty International à se montrer solidaire des personnes impliquées dans la vente du sexe, sans distinction de sexe et d’identité sexuelle, et à appeler les gouvernements à décriminaliser ces personnes dans tous les territoires. Dans son état actuel et à la suite d’un débat déchirant entre les déléguées et délégués réunis à Dublin, le cadre adopté par Amnesty permettrait à certains gouvernements de criminaliser la vente de sexe, tout en exonérant les acheteurs et les proxénètes ;

Amnesty International à nous consulter comme spécialistes des droits des femmes et de l’égalité des sexes. Beaucoup des soussignées sont des survivantes de la prostitution et/ou des personnes lesbiennes, bisexuelles, transgenres, ou membres d’organisations qui desservent de telles populations. Amnesty International n’a aucune légitimité pour parler en notre faveur ou en notre nom dans sa justification d’endosser la prostitution et divers systèmes d’exploitation ;

Amnesty International à consulter des professionnels de la santé et des chercheurs au-delà du seul secteur de la prévention du VIH/sida et de recueillir des données sur les énormes préjudices physiques, psychologiques et traumatiques, y compris la mort, que les acheteurs et les proxénètes infligent à des personnes, en particulier des femmes;
Amnesty International à respecter sa mission en appelant les gouvernements à mettre en œuvre et faire appliquer le Protocole de Palerme, la Convention de 1949, la CEDEF et d’autres instruments juridiques internationaux qui reconnaissent l’exploitation propre à la prostitution;

Les membres d’Amnesty International à contester les dirigeants de leur organisation et à les exhorter à adopter une résolution qui appelle les États à investir dans la réalisation de l’égalité des sexes, à combattre la violence à l’égard des femmes et à adopter des lois qui décriminalisent uniquement les personnes qui vendent du sexe et qui pénalisent les gens qui achètent du sexe, une formule également connue sous le nom de Modèle Nordique ou d’Égalité.

Si Amnesty International adoptait une politique qui appelle les États à décriminaliser les proxénètes, les propriétaires de bordels et les acheteurs, nous exhortons les gouvernements et la société civile à rejeter sans réserve cette politique. En tant que communauté internationale, il nous incombe de partager une vision de l’égalité et de lutter pour un monde où même les personnes les plus vulnérables sont protégées contre les violations de leurs droits humains.

#PasdAmnistiePourLesMacs    #NoAmnesty4Pimps

Pour signer la pétition

Contre le choix pro-prostitution d’Amnesty International

8 août 2015 – Tribune
Amnesty International doit se prononcer en faveur d’une « dépénalisation du travail du sexe ».
Avec le mouvement Femen, le mouvement du Nid et Cap 21, l’Alliance des Femmes pour la Démocratie a signé une tribune publiée le 8 août 2015 sur libération.fr pour inciter Amnesty International à ne pas trahir sa vocation de défense des droits humains en mettant à mal les droits des femmes.
Lire la tribune

Le Brésil saisi par la folie misogyne

Au Brésil, après la destitution pour de fausses raisons de la présidente Dilma Roussef et les attaques misogynes qu’elle a subies, les 24 ministres du nouveau gouvernement sont tous des hommes blancs !
Une jeune fille de 16 ans a été droguée, violée et violentée par 33 hommes qui s’en vantent sur les réseaux sociaux !
Selon l’Institut de recherche économique appliquée, 527 000 personnes sont violées chaque année au Brésil, parmi lesquelles 89% de femmes, dont 70% d’enfants et d’adolescentes.

Mais la colère gronde chez les femmes et les démocrates, et nous la partageons!
« Femmes, là où nous avons vaincu l’oppression, nous vaincrons la répression ! » A.F.

 

Attaques misogynes contre la présidente de Taïwan

Attaques misogynes contre la présidente de Taïwan
accusée d’être inapte à gouverner car célibataire

Un éditorial d’un membre du gouvernement chinois explique longuement pourquoi une femme célibataire, ce qui est le cas de la nouvelle présidente de Taiwan, Tsai In-Wen, ne peut être une bonne présidente.

En Autriche : Les femmes au secours de la démocratie

C’est au vote des femmes que l’on doit la victoire du candidat écologiste contre celui de l’extrême-droite.

Un sondage ISA/SORA indique que les femmes sont 60% à avoir voté pour Van Der Bellen alors que les hommes ont voté à 60% pour le FPÖ. Comment mieux dire qu’il ne saurait y avoir de démocratie sans les femmes !!!

A lire dans Le Monde daté du 24 mai 2016 :
« M. Van der Bellen l’a emporté dans presque toutes les grandes villes, chez les femmes et chez les plus diplômés; M. Hofer dans les campagnes, chez les hommes, surtout les moins diplômés… »

Solidarité Femen Espagne

VICTOIRE!!
JUSTICE A ETE RENDUE AUX MILITANTES POLITIQUES FEMEN en Espagne.
Elles viennent d’être relaxées des poursuites d’exhibition sexuelle, violences, troubles à l’ordre public ect alors que le procureur avait demandé la condamnation de chacune d’elles à 9 mois de prison et le groupement d’associations catholiques 6 ans de prison
Le Tribunal a reconnu leur droit de manifester!!
Elles étaient poursuivies pour avoir interrompu une manifestation contre le droit des espagnoles à l’IVG et à la contraception…
VIVE les luttes des femmes
Vive les femmes en luttes!
—————————————————————————————————————————

Les Femen Espagne étaient poursuivies pour exhibition sexuelle par une association catholique parce qu’elles manifestaient pour le droit à l’IVG.
Le procès devait avoir lieu le 25 mai dernier a été reporté à fin juin puis en juillet. Restons vigilantes.

Lettre ouverte pour demander l’abandon des charges contre les 5 activistes Femen en Espagne, suite à leur action en faveur du droit à l’avortement.
Le 17 novembre 2013, Femen a mené une action pacifique et symbolique en faveur de la décriminalisation de l’avortement et pour le droit des femmes à disposer de leur propre corps. Suite à cette action, les 5 activistes sont accusées de désordre public et de résistance aux autorités.
Femen souligne son droit à s’exprimer librement, nos protestations étant toujours pacifiques. Nos corps sont politiques et non sexualisés, ils représentent avec nos voix des moyens de protestation en rendant visible la menace qui pèse sur nos droits.
Lors de cette action, en clamant le slogan « Abortion is sacred » (l’avortement est sacré), Femen a lancé une campagne en faveur du droit à l’avortement et du choix de la maternité. Notre but était de mettre en évidence le conflit socio-politique qui agitait l’Espagne à l’époque, suite à la loi anti-avortement proposée par le Partido Popular (parti de droite).
Nous sommes convaincues que dans notre action, nos exerçons notre liberté d’expression. Nous exprimons notre soutien à la loi sur l’avortement, adoptée en Espagne en 2010 qui le décriminalise complètement et qui affirme que c’est aux femmes de décider pour leur propre corps.
Femen est un mouvement féministe qui lutte pacifiquement pour les droits humains et pour les droits des femmes partout dans le monde.
Signatures : Femen Internacional, Partido Feminista de España, MLF/ AFD (France), Federación de Mujeres Progresistas de Asturias, Forum de política feminista, Agencia de Comunicación y Género, Programa Feminista la Corriente (Nicaragua), Apoyo Positivo, Abel Azcona (Artist), Jil Love (Artist and activist), Isabel Calderón (Screenwriter).

Facebook Femen France

« Militantes pas délinquantes »
« Notre corps nous appartient »
« Les femmes qui manifestent pour la libération des femmes sont des militantes pas des délinquantes »

Deux générations en lutte Femen/parti féministe

Lidia Falcon écrit en solidarité : Las libertades, honestamente vestidas « Les libertés honnêtement vêtues ».

Non au machisme en politique

Stop harcelement sexuel

Appel au rassemblement
Mobilisation après la dénonciation des huit femmes élues ou cadres de EELV du harcèlement sexuel qu’elles ont subi de la part du député écologiste Denis Baupin.

Contre le machisme en politique :
l’alliance des femmes et la parité partout et maintenant !

Nous participerons au rassemblement contre l’impunité et la loi du silence,
ce mercredi 11 mai 2016 à 18h30
place Edouard Herriot, en face de l’Assemblée nationale.
Soyons nombreuses !

Une émission sur France inter sur le harcèlement sexuel à écouter

Non aux vêtements islamiques

Depuis des décennies, nous luttons en France, et aux côtés des militantes algériennes, iraniennes, tunisiennes, marocaines, égyptiennes… pour faire abroger les Codes de la Famille et autres lois discriminatoires qui constituent un régime d’apartheid et confèrent aux femmes un statut de quasi-esclaves, comme autant de voiles posés sur leur corps pour marquer la soumission/l’appartenance au père, au frère, au mari, à l’Etat, à Dieu…. au Maître !
Depuis des décennies nous ne cessons de dénoncer la marchandisation et l’exploitation du corps des femmes par le capitalisme ultra-libéral.

« Viol ou voile, voile ou string, les femmes sont otages entre l’enclume d’une tradition esclavagiste et le marteau d’une modernité porno marchande » écrivait Antoinette Fouque en 2004, lors de l’adoption de la loi sur la laïcité.

Aujourd’hui, avec le lancement sur le marché par des marques internationales de vêtements islamiques, c’est la collusion revendiquée entre l’économie porno-marchande libérale, libertine et la tradition esclavagiste… Ces faiseurs et vendeurs de mode, qui n’ont jamais projeté qu’une féminité travestie rejoignent, dans un orientalisme colonisateur, la tradition de l’asservissement, pour tenter de ré-enfermer les femmes libérées par les mouvements de libération des femmes.
Mais partout dans le monde, les femmes résistent: en Iran, en refusant le port du voile, en Arabie Saoudite, en conduisant des voitures, en se présentant aux élections, en Inde, en manifestant par centaines de milliers contre le viol, en Irak, en prenant les armes, en France, en luttant contre toutes les formes de violences contre les femmes.

Femmes, nous avons vaincu l’oppression,
Nous vaincrons la répression !

Violences intrafamiliales : réformer la justice

L’Alliance des Femmes pour la Démocratie a signé la pétition de l’association « SOS mamans« , Association de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants pour la création d’une juridiction spécialisée contre les violences et vous invite à le faire également.

« Les juridictions de la famille (JAF) sont en charge des dossiers de séparations conjugales et sont très mal formées au traitement des dossiers de violences intrafamiliales. Il est plus que temps de créer des juridictions fondées sur la base d’une approche interdisciplinaire et clinique pour améliorer la prise en charge et la protection des femmes, et des enfants victimes « directes ou collatérales », en préservant leurs besoins en termes de développement, physique et psychoaffectif. »

Pour signer la pétition

Brésil : pour les femmes et la démocratie

Dilma Rousseff a été innocentée à l’unanimité par le tribunal international pour la démocratie, chargé de juger les modalités de la procédure de destitution le mercredi 20 juillet.
voir l’article

Des centaines de femmes brésiliennes ont manifesté le 19 avril 2016 pour défendre le mandat de Dilma Roussef et la démocratie.
Elles dénoncent le machisme et la misogynie qui s’abattent sur la Présidente!
Leur manifestation avait pour nom:

« Un câlin pour la Démocratie – les femmes avec Dilma »

Nous sommes à leurs côtés!

Lire l’article de 50-50 magazine

Solidarité avec les femmes mexicaines contre le gynocide

Solidarité avec les femmes mexicaines qui ont manifesté à Mexico et dans plus d’une vingtaine de villes du pays contre le massacre des femmes, aux cris de « Nous voulons rester vivantes »!
Elles étaient des milliers, dimanche 24 avril, dans la rue pour protester contre les violences faites aux femmes et le machisme qui s’exercent en toute impunité au Mexique.
« Chaque jour, sept femmes sont assassinées dans notre pays. Nous sommes l’un des pays qui compte le plus de femmes tuées au monde, le plus de femmes qui disparaissent. Nous sommes le deuxième pays en matière de prostitution infantile et les victimes de cette traite sont presque toujours des femmes » a résumé l’une des manifestantes.
Depuis longtemps, avec Antoinette Fouque, nous dénonçons ce « gynocide » qui se perpétue notamment à Ciudad Juarez où depuis 1993, 1441 meurtres de femmes ont été recensés tandis que 600 femmes auraient disparu, sans que la police et l’État accepte d’agir contre ce fléau.
Il faut mettre fin à l’inertie et la complicité de l’État mexicain: il est temps de saisir la Cour Pénale Internationale !!!